Shinobi-All-Destiny
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Shinobi-All-Destiny

Forum basé sur la série de Naruto. Venez vous amuser et vous détendre tout en faisant évoluer votre personnage !
 
AccueilDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : où l’acheter ?
Voir le deal

 

 Lorsqu'on a plus rien à faire... [Pv. Itachi.]

Aller en bas 
AuteurMessage
Deidara
Anbu | L'artiste de l'Akatsuki
Anbu | L'artiste de l'Akatsuki
Deidara


Messages : 118
Date d'inscription : 14/11/2011
Age : 29
Localisation : Québec

Feuille de personnage
Point de vie : : 1300/1300
Point de chakra : : 1500/1500
En plus : :

Lorsqu'on a plus rien à faire... [Pv. Itachi.] Empty
MessageSujet: Lorsqu'on a plus rien à faire... [Pv. Itachi.]   Lorsqu'on a plus rien à faire... [Pv. Itachi.] Icon_minitimeSam 17 Mar - 0:58

L'entraînement d'un artiste est un entraînement simple. Il faut savoir perdre son esprit dans les vapes. Perdre son esprit et le donner à l'art, à l'explosion. Il faut savoir faire partie intégrante de l'art, dans toutes ses formes, dans toute sa beauté, sa magnificence. L'artiste Deidara, le grand, le savait plus que personne. C'était quelque chose qu'il n'arrivait pas vraiment à accomplir, quelque chose de totalement différent du reste. Après tout, il restait un simple combattant normal dans les grandes lignes. Il avait beau être le plus grand artiste du monde, il n'arrivait pas à exprimer son art comme il le voudrait. Ce qu'il voulait vraiment, c'était être capable de simplement admirer toutes les formes d'art, et non seulement le sien. C'était quelque chose de quasiment inaccessible. Après tout, que dire d'autre? Le but principal d'un artiste est de se faire connaître, et lui, il n'arrivait pas à se faire connaître. Son exploit dans le dernier village qu'il avait attaquer avait été en vainc, car personne n'avait survécu. Sa légende ne passerait pas plus loin que le monde de l'imagination si sa continuait ainsi. Pour son examen ANBU, il avait tuer le Raikage, mais qui s'en préoccupais vraiment. Kumo n'était même pas un des villages les plus renommés. Kiri, Konoha et Suna l'étaient bien plus, et ils semblaient tous se méfier d'un homme tel que Deidara. L'Akatsuki par contre, avait su montrer quelque chose de magnifique à Deidara. Il lui avait montrer ce que c'était d'appartenir à une famille, aussi petite soit-elle. Il tenait une sorte de rivalité contre son chef, Itachi Uchiha, mais en faites, il l'admirait. Il le regardait comme s'il était un géant alors que lui n'était qu'un simple artiste tentant de l'impressionner. Il comptait littéralement Itachi comme s'il était son grand frère, parce que pour lui, c'était sa seule famille qui l'avait un minimum accepté. Ses foutus parents...Toujours des souvenirs merdique sur ceux-ci. Des imbéciles sans vies.

L'artiste s'assit dans son coin, il faisait encore noir, le soleil allait bientôt se lever, et il fallait qu'il s'entraîne. Il avait demander à son chef de l'entraîner, pour qu'il apprenne des techniques de niveau Juunin et ANBU, ce qu'il n'avait jusqu'à présent pas encore fait. C'était quelque chose d'utile à savoir pourtant. Après tout, les techniques artistique d'un homme tel que Deidara étaient principalement créer pour montrer au monde que malgré toutes les conneries qu'il était capable de faire, il y avait des choses magnifiques qu'on pouvait trouver. Et ces choses étaient simple. C'était de l'art. De l'art dans toutes ses formes, même dans la plus archaïque. Enfin, tout ça commençait bien. Alors que Deidara réfléchissait, des mémoires sur sa vie d'antan passèrent à travers sa tête. Des choses assez étrange, des souvenirs. Cette connerie qui vous force à pleurer ou à sourire, qui vous force simplement à penser que peut-être que le passé était mieux. Deidara se mit à rire de plus belle. Il s'arrêta enfin, contemplant ces souvenirs. C'était plutôt beau dans l'ensemble, ce n'était pas quelque chose de bien difficile à comprendre. Des souvenirs, quoi de plus beau qu'en avoir? Ses souvenirs se limitaient à quelque chose de simple. Il était dans sa maison, son ancienne, et il devait avoir environ sept ans. Il était tout petit, tout jeune. Ses cheveux n'étaient pas encore assez long, mais ils l'étaient un minimum. Du genre assez pour se sentir un peu féminin. Bah, en faites, assez pour que ses amis, ou même les inconnu le trouvent féminin. À cette époque, les gens croyaient qu'il était une jeune fille. Les gamines de son âge n'ayant pas encore développer de poitrine, ses traits fins et ses cheveux mi-long le trahissaient un peu. Il était un homme, c'était sure pour les gens qui le connaissaient, mais son look donnait l'impression qu'il en avait moins dans la culotte qu'il le prétendait.

Une simple histoire de plus à travers les souvenirs d'un homme comme les autres. Un homme un peu différent, certes, mais un homme. Lorsqu'il était plus jeune, Deidara avait reçu un tout petit truc que les autres n'avaient pas reçu. Des bouches dans ses mains, qui permettaient de transmettre du chakra. Pourquoi étaient-elle là? Qui les avaient misent? C'était des questions bien simple, mais ces questions se feraient répondre assez rapidement. Son père était dans le temps une sorte de monstre. Un homme diabolique, dangereux, mais quand même aimant. Voulant transformer son fils en tant que le pire monstre de guerre possible, à sa naissance, il l'arracha des mains de sa mère aimante et l'enferma dans un laboratoire. Durant plusieurs jours et plusieurs nuits, des scientifiques travaillèrent comme des fous sur le corps de ce petit gamin qui n'en pouvait plus de pleurer, de crier, et de souffrir. Chaque nouvelle incision, chaque médicament qu'il se faisait injecté, il n'en pouvait plus.

« Nous allons commencer par inciser sur la poitrine pour voir comment se porte son coeur. »

Même naissant, il avait bien compris que ce serait quelque chose de douloureux. L'homme avec le masque et le scalpel approcha du petit qui se faisait maintenir en place par plusieurs machines. Celui-ci avait beau se débattre, il n'était pas assez fort. Le scalpel trancha à travers la peau comme dans du beur, laissant le sang couler sur le côté. Un homme partit prendre des serviettes pour maintenir le tôt de sang dans le corps du petit artiste. Une femme brancha une grosse machine à ses veines, pour s'assurer qu'il ne manquerait pas de sang ou que son coeur n'arrêtes pas de battre, ils lui infusaient du sang et de l’adrénaline. Dans l'autre sale, la mère du gamin venait de donner son dernier souffle. Le sang qu'elle avait perdu pendant l'accouchement ne l'avait pas aider, lorsque son père était parti avec le fils et qu'elle l'avait vu lui ouvrir le coeur à travers la vitrine, elle avait vomis du sang, et avait fait une crise cardiaque. Personne n'était aller à son secours, pas même son père. Un fou, qu'il était. Un maudit fou. Le scalpel par dessus le coeur, il ouvrit celui-ci, manquant de tuer le fils. D'un coup de main, il arracha son masque et sourit intensément, avant de plonger sa main dans le corps du petit qui semblait littéralement se cogner contre la table d'opération et être propulser par en avant par le choc. La douleur était intense, insupportable, il serait tomber dans les pommes si toutes ces doses d’adrénaline ne le maintenaient pas conscient. Son père arracha le coeur et une machine prit le relais pour pomper le sang. Alors qu'il emmenait le coeur dans une autre sale, tous les médecins partirent, laissant le petit respirer et survivre grâce à une machine qui n'aurait même pas du exister dans ce temps là. C'était n'importe quoi, on pouvait voir chaque battement sur une petite chose qui faisait des bruits. Cette petite chose attirait tout simplement l'attention de l'artiste qui le regardait de toutes ses forces, et qui tentait de ne pas mourir sur place. Il ne voulait pas mourir, il voulait survivre. Survivre...


L'artiste se réveilla, il venait de s'endormir dans sa sale. Assis en boule dans le coin de la sale, un rayon de soleil venait de le réveiller en sursaut. Il ne comprenait plus ce qui se passait. Il regardait ses mains avec les langues, et regarda son corps nu comme un ver, hors de ses couvertures. Il venait de faire un de ces cauchemars à la con ou on se souvient de nos pire moments. Il regarda l'heure et se rendit compte qu'il était encore trop tôt. Le soleil venait de se lever, c'était ça qui l'avait réveiller. Il enfila tranquillement ses vêtements, regardant son corps nu. Dans le miroir, il se rendit compte qu'il était un monstre. À la place de son coeur se trouvait une bouche, cousu par du fil, avec des marques autour de celle-ci. Une bouche monstrueuse qui semblait cacher une histoire d'horreur et de peur comme nul autre. Mais comment avait-il pu avoir un père aussi affreux?

Sa mémoire divagua de plus belle, continuant de prendre soin de ses misérables souvenirs. Il se réveilla dans la peau du gamin attacher sur la table encore une fois. Il regardait dans tous les sens, la douleur semblait réelle, comme si sa mémoire avait pris le dessus, et qu'il avait courbé l'espace temps pour se retrouver à la même époque que lorsqu'il était né. La plupart des gens ne se souviennent pas de leur naissance, mais lorsque c'est quelque chose d'aussi affreux, on ne peut faire autre chose que de s'en souvenir. Il tourna la tête sur le côté pour voir à travers la fenêtre son père, tenant le coeur du petit dans ses mains. Dans l'autre, se trouvait une petite boule noire, qui semblait extrêmement étrange. Elle avait un sourire, et deux petits yeux blancs. Littéralement comme une chose vivante. La boule sembla ouvrir la bouche et avaler le coeur, ce qui la rendit vivante. Le père la regarda avec mépris, comme s'il la trouvait dégoûtante et magnifique à la fois. Ce même rire sadique, maléfique, sortit de sa gorge. Un rire si dangereux que la personne la plus endurcis aurait finit en lambeaux sur le sol à la simple entente de cette voix. Rien ne pourrait simplement résonner cet homme, et les autres scientifiques ne semblaient pas plus amicaux que celui-ci. Le petit Deidara luttait pour sa vie sur une table d'opération, à peine une heure après être venu au monde. Mais quel monstre ferait ça à son fils...

Son père tourna les talons et avança tranquillement vers son fils, la boule à la main. Il arracha la machine qui maintenait son fils en vie, pour le regarder asphyxier. Il s'amusait à le voir. Il enfonça sa main libre dans le corps et tâta les poumons avant de se rendre compte qu'ils avaient durcis. Il allait le tuer, c'était sure. D'un coup, il prit son autre main et plaça la petite boule à la place du coeur de Deidara, et planta les circuits de chakra et les veines à travers celle-ci. D'un coup, la douleur disparu, la boule la prenait. Il ne comprenait pas ce qui lui arrivait, mais il respirait, il vivait. Cette boule était un coeur artificiel, une sorte de monstre vivant qui lui sauvait la vie tranquillement. Le père referma la peau par dessus celle-ci, créant seulement une bouche béante sur le torse du bambin. Il cousu le tout avec un fil et marqua au fer brûlant des marques autour de celui-ci, blessant encore le petit. Mais après avoir subit autant de dégâts, il ne s'en préoccupait plus vraiment. La bouche était cousue, et il vivait comme n'importe qui d'autre. Il était différent, certes, mais il vivait. Son père arriva avec deux petites versions miniatures de cette boules, et se lécha les lèvres de plaisir, regardant son fils sur la table qui avait enfin cesser de saigner de toute part. Il nettoya son fils tranquillement, avant d'écarter les doigts de ses mains pour les garder grande ouverte. Enfin commençait un tout nouveau traitement.

« Je vais maintenant inciser tes mains, et insérer ces petites boules à l'intérieur. Le but principal de ces choses sont de transmettre ton chakra. Lorsque tu seras plus vieux, plus puissant, tu pourra transmettre ton chakra à travers ces bouches, pour simplement les utiliser comme armes. Tu seras l'arme secrète et ultime du village caché de Iwa. Je ne te laisserai pas gâcher ta vie comme tous les autres ninjas minable. Tu tueras, au lieu d'être tuer, mon fils. »

Le petit tenta de fermer sa main mais sans succès. Son père avait insérer une toute autre drogue à travers l'adrénaline, l'empêchant de faire quelconque mouvements. Son père qui utilisait un poison contre lui. C'était inhumain. Il haïssait son père, du plus profonds de son âme. Et à ce qu'il comprenait, son père ne l'aimait guerre plus. Son père incisa ses mains, comme il l'avait si bien expliquer, il fit la même chose que pour le coeur du petit ,mais dans ses mains, laissant deux bouches qui semblaient vivante grâce au chakra du petit garçon. Aussi petit soit-il, son chakra était bien puissant, bien grand. Il était même artistique dans un sens (/zbaff/). L'opération était terminée, et enfin le petit pouvait être libéré de sa peur de mourir. Son père en avait finit, il avait créer sa machine de guerre, sa machine dangereuse. Il ouvrit une bouteille de vin qu'il se mit à boire à même la bouteille, célébrant son exploit. Il prit son fils dans ses bras qui ne pouvait pas bouger et partit voir sa femme, morte. Il mit le gamin dans les bras de la femme et se mit à parler tout seul;

« Tu vois? Notre fils est magnifique, tu devrais être fier, je t'aimes tellement, tellement, merci encore de m'avoir aider, merci pour tout, je t'aimes tellement... »

Sa conversation continuait de plus belle. Sur le cadavre de la femme, le petit artiste sentait son coeur battre, et ses mains bouger. Alors que lui ne pouvait rien faire, son corps continuait de vivre. Il lui faudrait un peu de temps pour passer par dessus tout le poison que son père lui avait insérer dans le corps. Il était petit, faible, alors pourquoi resterait-il vivant après tout.

« N'oubli pas mon fils. Nous te donnerons ce qui s'appelle de l'argile. C'est fait pour exploser. Mélanger à ton chakra, tu pourras l'utiliser comme une arme. Je te rappellerai toute ta vie, de ne jamais mettre d'argile dans ton coeur. Ne le détache jamais, sauf si tu ne peux plus sortir. Si tu mets de l'argile à l'intérieur, tu perdras la vie. Mais l'explosion seras d'une telle ampleur que tu pourras en être fier, même dans l'au-delà. N'oubli jamais, n'ouvre jamais ton coeur sans être sure de mourir de toute façon... »


Il se réveilla de plus belle, il n'en pouvait plus. Il partit simplement à l'endroit de l'entraînement, une heure plus tôt que l'heure prévue, se rappelant ses derniers mots, qui résonnaient en permanence à travers son esprit, comme une chanson qu'on arrives plus à se débarasser. Il tourna la tête et regarda vers sa gauche son système de son, avant de l'activer. Il était prêt à s'entraîner, à se battre. Ce serait un entraînement avec son maître, son presque frère, Itachi Uchiha, le chef de l'Akatsuki. Sa nouvelle famille étant petite, elle restait sa famille, et une famille bien plus aimante que celle qu'il avait eu auparavant. Il activa la radio, et enfin, la musique commença. Il pourrait enfin s'amuser.


Il se plaça en position, mit ses mains dans ses poches, et regarda les cibles au loin. Dans tous les sens, on pouvait voir des oiseaux voler de toute part, exploser dans tous les sens, sans jamais laisser la possibilité aux cibles de survivre. Certaines de ces cibles étaient positionné de façon à ce qu'elle bouge et qu'elle soient plus difficile à attraper, mais les oiseaux suivaient leur mouvements au fur et à mesure qu'elles bougeaient. Le désavantage de s'entraîner dans le Dojo de l'Akatsuki était ensuite de ramasser les débris, mais bon, c'était un mal comme un autre. Un sourire au visage, Deidara mixait deux arts ensemble, et créait la perfection. Enfin, son art était absolut. Itachi entra finalement dans la sale, alors il continua de plus belle ,en faisant des attaques encore plus extravagante, pour montrer à son chef qu'il était devenu bien plus puissant. Enfin ici continuait l'art de l'artiste.

« Bienvenue, maître. » Se contenta-t'il de dire.

C'était la seule chose à dire. Enfin, il attendrait la réponse de celui-ci. En quoi consisterait cet entraînement? Il n'en avait aucune réelle idée, mais dans un sens, il voulait un combat. Tester ses capacités contre son rival, celui qu'il serait prêt à appeler son frère. Un combat entre homme, de puissance à puissance. Art contre Sharingan. Lequel des deux était donc le plus puissant? Qui le savait vraiment après tout. On le serait seulement pendant ce magnifique combat d'entraînement qu'était le leur. Lorsque deux arts entrent en collision, c'est ce qu'on appelles une explosion. L'art est une explosion. Et la guerre est un jeu. Que le jeu commence.

180 + 10 = 190 lignes dispo.
190 - 180 = 10 lignes dispo.

Technique apprises :
Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
 
Lorsqu'on a plus rien à faire... [Pv. Itachi.]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Achats Itachi
» Fiche ninja d'Itachi
» Techniques d'Uchiwa Itachi
» Deidara rends visite à des vieux amis. [PV. Itachi]
» Qui sème le vent récolte la tempête... Itachi arrive au pays du feu [Mission]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Shinobi-All-Destiny  :: Le RP :: Akatsuki :: Dojo d'entrainement-
Sauter vers: